Cette critique a déjà été publiée sur le site KumiLoves. Mais comme j'étais incroyablement fière de ma critique (vous verrez pourquoi XD), j'ai décidé de la poster aussi sur mon blog. Ici, vous aurez une petite exclu car je rajoute ce que j'ai pensé de la piste qui se trouvait sur la first press. De plus, dans le DVD, je ne critique que les clips. Et sachez que j'ai beau dire du mal, la note finale n'est pas si mauvaises XD
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Moon
de Koda Kumi
Langue: Japonais / Anglais (pour That Ain't Cool)
Genre: Ballade - R&B - Reggea - Pop
Date de sortie: 11 juin 2008
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Tracklist
01 Moon Crying
02 That Ain't Cool (ft. Fergie)
03 Once Again (PUSHIM Collaboration)
04 Lady Go!
05 Moon Crying -Instrumental-
06 That Ain't Cool (ft. Fergie) -Instrumental-
07 Once Again (PUSHIM Collaboration) -Instrumental-
08 Lady Go! -Instrumental-
09 Moon Crying (Piano Version) *uniquement sur la first press*
Mon Avis
Que dire de Moon Crying sinon que la chanson n'arrive pas à la cheville de certaines autres ballades de la chanteuse. Certes, le résultat est bien plus satisfaisant qu'une certaine Ai no Uta mais on est loin de You, hands ou autre 1000 no Kotoba qui ont rendu Koda Kumi crédible dans le milieu des ballades languissantes. La chanson est sensée faire pleurer pourtant, on reste surtout de marbre. Dans ce domaine-là, on préfèrera Candle Light, ballade avec laquelle Koda Kumi arrivait à faire passer ses sentiments. Bref, Moon Crying n'est pas un mauvais morceau mais ça ne l'empêche pas d'être pas assez innovant, trop répétitif et même assez ennuyeux. Pour That Ain't Cool, on se demande ce que cette chanson fait sur un single de Koda Kumi. Non mais c'est vrai quoi. Elle ne chante même pas dedans. Ah si, un peu moins de 30 secondes. Et en anglais en plus. Quoiqu'elle ne chante pas mais nous sort un rap assez pourri... La chanson n'était pas mauvaise (bien que peu originale) mais on aurait plutôt dit Fergie ft. Koda Kumi et non l'inverse... Par contre, on est assez surpris avec Once Again. Notre Kumi aurait décidé de varier sa discographie? En tout cas, on l'espère. Avec ce morceau reggae assez planant, la surprise est au rendez-vous. Bien que l'interprétation ne soit pas vraiment en accord avec l'ambiance dégagée et que le refrain est construit bizarrement, on applaudit tout de même le geste. Par contre, le pont avant le dernier refrain ne colle pas avec le reste de la chanson et Koda Kumi ne devrait pas faire ces "ahah" à la fin des couplets parce qu'on aurait dit un canard coincé entre deux portes implorant qu'on le décoince. Sinon, bonne piste en perspective. On pensait que Koda Kumi voulait varier sa discographie avec Once Again? Et bien non. Lady Go! nous démontre le contraire. Dès les premières notes électro, on ne peut s'empêcher de crier de désespoir face à cette énième piste pop sans saveur et complètement inutile. Koda Kumi à la voix de canard, un refrain ne comprenant qu'un maximum de 10 mots différents, des couplets plus criés que chantés, en clair, le temps d'une chanson, Koda Kumi s'est transformée en Lorie... Et comme si ça ne suffisait pas, Koda Kumi nous fait un cadeau supplémentaire! La version piano de Moon Crying. En clair, on a enlevé les instruments à l'arrière, on a coincé un pianiste qui passait par là et la version piano est née!! Aucun défaut et aucun avantages n'a jamais d'une version à l'autre si ce n'est que le piano rend la ballade encore plus fade qu'elle ne l'est au départ...
Côté pv, grosse déception ou dégout (c'est selon) Premièrement, on a le clip de Moon Crying. Celui-ci se paie une histoire mal construite, un stéréotype de l'amour au-delà de la mort complètement usé, des plans mal filmés et puis surtout une actrice exécrable! Koda Kumi pleure-t-elle ou est-elle tout simplement constipée? Le mystère reste entier... De plus, ce genre de clip commence vraiment à devenir lourd car notre "Kuu-chan" pleure de plus en plus et de moins en moins bien. Koda Kumi a déjà pleurer dans hands, Promise, You, Futari de.., Himitsu, Ai no Uta, Amai Wana et Twinkle. Hum… Non, le pv de Twinkle était à pleurer, nuance. Deuxièmement, on a le clip de That Ain't Cool. Comme on pouvait s'y attendre, à l'écran, c'est aussi Fergie qui est mise en avant. Mais autre point faible : le clip est plat et semble être à bas budget. On ne retrouve que trois plans différents. Celui dans le parking avec Fergie et Koda Kumi, celui devant les écrans de surveillance avec Fergie et celui dans l'appartement avec Koda Kumi. De plus, la chorégraphie est inexistante. Enfin si, les deux chanteuses se frottent l'une à l'autre et Fergie nous fait une démonstration de yoga. Rien d'impressionnant ou de surprenant en somme.
On peut dire pour conclure que Moon est un single dans la lignée des autres sortit ces derniers temps : pas exceptionnel et un peu mal foutu. Alors qu'il était sensé faire le "come-back" sur la scène de Koda Kumi qui était en silence radio depuis fin janvier, on se retrouve face à un single de qualité discutable surtout que sur ce coup, Koda Kumi avait quand même Fergie et PUSHIM à ses côtés!
Je conseille: Once Again
Je déconseille : Lady Go!
Note: 5/10
Mon Avis
Ensuite, on retrouve fuoco qui est une piste assez particulière. Premièrement parce qu'elle comporte un seul accord et que le refrain n'arrive qu'à la fin. Deuxièmement et principalement, c'est la voix d'Iruma qui a été modifiée comme c'est pas possible. En rajoutant des échos probablement mais au final, le résultat n'est pas mauvais bien que cela devient très vite lassant ces effets de voix omniprésents... Pour Moonlight Waltz, Iruma Rioka a utilisé une chanson de Beethoven et que dire à part qu'elle est magnifique? Un véritable coup de coeur sans vraiment savoir expliquer pourquoi. Alors que pour Moonlight Waltz, Iruma chantait dans les aigus mais avec une sorte de lyrisme, avec Ao, elle revêt une voix plus niaise à la façon de Ashita, Ame Ga Yanda Nara mais en moins supportable. Surtout pendant les refrains où on a l'impression d'écouter Ai Otsuka (l'inspiration en plus XD) Pas tellement déplaisant mais il y a beaucoup mieux sur l'album. CLOVER s'en sort déjà mieux même si certaines notes durant le refrain font un peu penser à YUI. Vous voyez ces aigus durs à gérer en live? Le refrain en est rempli mais contrairement à ce qu'on pourrait croire ça donne un bon résultat. Malheureusement, CLOVER n'est pas la piste qu'on retiendra le plus étant donné la qualité de certains morceaux. Dommage... Et pour finir, on a une vraie surprise. Jusqu'ici, l'univers d'Iruma Rioka était formé de paysages enfantins ou glauques, puis arrive Touch Your Heart qui déjà commence avec de la batterie. Puis, premières paroles avec des effets de voix façon Ami Suzuki. On a peur de se retrouver dans le même cas que fuoco jusqu'à ce que les guitares électriques se font plus présentes et que la voix d'Iruma devienne normale. Et justement en parlant de ces guitares qui grondent, on s'attend à un refrain vraiment rock. Mais celui-ci reste assez plat (ouf XD) Enfin, on se dit que tout compte fait c'est pas du Ami Suzuki. Seulement, directement après le refrain, on se retrouve dans un registre complètement dance, électro jusqu'au deuxième refrain. C'était bien Ami Suzuki XD. Après ça, on retrouve un mélange homogène des deux genres. Assez étonnant pour la fin mais au final, la piste ne ressemble pas tellement aux autres productions qu'on a l'habitude d'entendre donc on ne s'en plaindra pas.
Mon Avis
On continue avec Orora sora kara mitsumete iru qui se veut entraînante dans les refrains et assez plate durant les couplets. Très bon en deux mots. Mais Kono Machi aura tendance à éclipser les autres chansons. Dans le même style que Sen no yoru to sen no hiru, Kono Machi se chante comme une plainte et Chitose Hajime s'en sort parfaitement. Surtout pour les derniers refrains où elle donne toute sa voix! De plus, on ne peut s'empêcher d'apprécier les "samples de voix traditionnelle" (qui sont présent dans la plupart des chansons d'ailleurs) et qui, ici, s'accorde parfaitement avec l'ambiance. Et puis la piste qui suit, Getsurei 17.4, se plonge dans un style soul/jazz. Avec ces insistassions sur les "nee" prononcés à la manière d'Amy Winehouse mais avec plus de fraicheur, on ne peut oublier cette chanson dans laquelle Chitose Hajime ne fait pas son "uragoe". Pas déçu, cette petite perle reste dans les annales un peu comme la piste qui suit, Yuri Collection. Bien que le début puisse surprendre par la voix assez torturée de la chanteuse, on ne peut s'empêcher d'apprécier la chanson pour son refrain plus qu'entraînant. D'ailleurs, dans cette chanson et grâce à cette absence d'instrument (excepté une guitare et un accordéon), on peut entendre la puissance que l'artiste est capable de mettre dans sa voix. A écouter et à réécoutez pour le plaisir des oreilles! Et pour terminer, on retrouve une piste un peu plus joyeuse, bref, une bonne fin d'album dans laquelle Chitose Hajime nous donne encore un aperçu de ses notes impressionnantes avant de clôturer son album.
Mon Avis
Quand au clip, il n'y a rien à dire là-dessus. Encore une fois, il est esthétique et bien filmé. Ca commence à devenir un peu lourd étant donné qu'alan n'est montré que sous son beau jour et que le clip ne contient ni sens caché, ni histoire, ni quoique ce soit qui voudrait la peine qu'on le regarde. On avait déjà eu le cas avec Ashita e no Sanka. Or, pour ce premier, on se réjouissait surtout de voir que, pour un premier clip, il ne s'en sortait pas si mal que ça. Avec Hitotsu, on aurait voulu un peu plus d'originalité histoire de rattraper le niveau des chansons et donner envie d'acheter la version CD+DVD du single. Car après tout, si Hitotsu est si mauvais, c'est parce qu'il est commercial! Alors, qu'ils se débrouillent chez avex trax en nous proposant un clip digne de ce nom. Comme ça, les acheteurs seront aussi obligé d'avoir le CD avec. Tant pis si c'est de la daube. Au moins, l'achat sera justifié par le DVD, voilà!
Mon Avis
Pour nous faire oublier ce mauvais morceau, on nous offre du Prisoner of Love. Encore une piste écoutable. Sûrement l'une des seules inédites de l'album à être travaillée. Bah oui, c'est le générique d'un drama et en plus, le mois qui suivit, Toshiba-EMI (sa maison de production) nous l'a offert sur un single comme si c'était une exclusivité. Mais le public n'est pas aussi nigaud que ça et c'est à peine 80.000 personnes qui tomba dans le panneau. Tout de même, ça fait énormément d'idiots... Puis, on arrive à Take 5 qui au départ s'annonce assez bien avec ces couplets chantés à la manière de Passion. Mais quant arrive le refrain, on se dit que c'est carrément du plagiat en voyant que la fin du refrain ressemble à Tokyo Night. Un immense recyclage quoi. On savait qu'Hikki aimait reprendre les sonorités de ses anciennes chansons mais ça fait trop. On préférera se rabattre sur Passion. Ensuite, on retombe sur du connu, Boku wa Kuma que certains ont qualifié d'horrible et décevante là où d'autres l'ont qualifiée de mignonne et complètement délirante pour une artiste comme Utada Hikaru. Sans me positionner dans l'une ou l'autre catégorie, il faut l'avouer, Boku wa Kuma a son petit charme et le côté enfantin est mignon. Ce n'est pas vraiment la chanson qu'on se doit d'écouter pour bien se représenter la discographie d'Hikki mais c'est toujours sympa! Prochaine piste qu'on craint dès les premières secondes, Niji-iro BASU. Il y avait de quoi. Les arrangements sont les mêmes que ceux de toutes les inédites et l'ennui est facilement atteint avec ce titre à situer entre le niais et le pitoyable. Allez, on continue et on se booste pour la dernière piste qui n'est rien d'autre que la version normale de la 4ème piste. Pas plus originale, pas d'interprétation différente, ce sont simplement les instruments qui ont changé. Pas la peine d'écouter jusqu'au bout...
